Le cri

Couverture du livre "Le cri"
Le livre présenté par Jocelyne, « Le cri » de Nicolas Beuglet paru le 8 août 2016 aux éditions Xo
494 pages

Résumé :
Hôpital psychiatrique de Gaustad, Oslo.

À l’aube d’une nuit glaciale, le corps d’un patient est retrouvé étranglé dans sa cellule. Dépêchée sur place, la troublante inspectrice Sarah Geringën le sent aussitôt : cette affaire ne ressemble à aucune autre…

Et les énigmes se succèdent : pourquoi la victime a-t-elle une cicatrice formant le nombre 488 sur le front ?

Que signifient ces dessins indéchiffrables sur le mur de sa cellule ? Pourquoi le personnel de l’hôpital semble si peu à l’aise avec l’identité de cet homme interné à Gaustad depuis plus de trente ans ?

Pour Sarah, c’est le début d’une enquête terrifiante qui la mène de Londres à l’île de l’Ascension, des mines du Minnesota aux hauteurs du vieux Nice.

Soumise à un compte à rebours implacable, Sarah va lier son destin à celui d’un journaliste d’investigation français, Christopher, et découvrir, en exhumant des dossiers de la CIA, une vérité vertigineuse sur l’une des questions qui hante chacun d’entre nous : la vie après la mort…

Et la réponse, enfouie dans des laboratoires ultrasecrets, pourrait bien affoler plus encore que la question !

Son avis :
Un mystérieux patient meurt étranglé dans des circonstances étranges à l’hôpital psychiatrique de Gaustad.

Son corps est figé bouche ouverte dans un cri muet et il porte le chiffre 488 sur le front.

L’enquête va nous faire voyager d’Oslo à Paris, Londres, les USA, l’île de l’Ascencion. Sarah Geringën, l’enquêtrice chargée de cette affaire, va se trouver associée à un journaliste français Christopher Clarence dont le frère est décédé après avoir fait des découvertes reliant son laboratoire à l’hôpital de Gaustad.

Ce roman est inspiré de faits réels : le projet MK ultra conduit par la CIA entre 1950 et 1970 pour prendre le contrôle de l’esprit humain.

L’écriture est entraînante avec un rythme soutenu. Si le début du récit est prometteur, il manque de crédibilité. Les héros sont des surhommes avec une surenchère permanente.

Au total, c’est un thriller haletant mené tambour battant écrit comme un scénario de film grand spectacle.

Sa note : 3.5/5

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